dimanche 17 janvier 2010

Brume du soir

Brume du soir en forêt de L'Isle-Adam, à dix-huit heures passées.

Le quartier des Flanades, vu du collège Chantereine

Dix-huit heures trente. Crépuscule bien avancé. En rentrant en voiture, une lumière spéciale qui attire et l'idée de monter jusqu'au collège Chantereine pour mieux cerner le quartier des Flanades. On aurait l'impression d'une étrange usine, et même (seconde photo) d'une usine implantée en pleine campagne. Mais ce n'est que Sarcelles, multiforme et étonnante Sarcelles !



samedi 16 janvier 2010

Vendredi, vers six heures du matin

Sarcelles, six heures du matin. Il fait nuit. Nous voici au croisement de l'avenue Auguste-Perret et de l'allée Francis Jammes, presque à l'angle avec le boulevard Salvador-Allende. Le silence règne. Hormis les lampadaires, quelques carrés de lumière montrent que la vie recommence. On imagine les levers habituels, plus ou moins difficiles, les yeux ensommeillés, les cafés qui commencent à couler, les silences qu'on préserve pour ne pas réveiller les enfants qui dorment encore...


Le halo de l'éclairage public donne un air particulier aux ramifications des arbres que le froid a dégagées, comme pour le plaisir de l'œil.


Du haut en bas, la lumière artificielle donne des couleurs spéciales aux arbres comme à la teinte du ciel.


Avançons de quelques mètres : le petit pont qui transforme la rue de la Paix gargeoise en sarcelloise avenue Perret est fréquenté par quelques voitures. Matin avant l'aube ? soir ? On pourrait imaginer bien des choses — et pourtant non : ce sont les travailleurs du matin, ceux qui commencent à l'aube ou veulent échapper aux bouchons qui vont fortement ralentir le trafic sur l'autoroute A1 à Saint-Denis à partir de six heures trente.


Quelques mètres encore, et c'est le boulevard Allende où l'on aperçoit la gare RER de Garges-Sarcelles, ses lumières et, de l'autre côté des voies, côté Garges-lès-Gonesse, quelques fenêtres éclairées dans les barres d'immeubles : là aussi, on commence à s'éveiller...

jeudi 14 janvier 2010

À cinq heures du matin, la neige tombe...


Cinq heures du matin.
Un coup d'œil rapide à la fenêtre : la neige est là.


On la distingue à l'œil nu, qui tombe dans l'avenue.


Ici, ce n'est pas de la pluie : la photographie
conserve la trace du mouvement des flocons.