dimanche 5 mai 2013

Pommiers, colzas et autres plantes

Béthemont-la-Forêt, 4 mai 2013. — Printemps: du regard que porte le passant à celui du photographe, aucune différence sinon celle qui permet de goûter davantage, au plus près, les beautés que forme la nature. Voici une deuxième excursion que nous vous proposons.

vendredi 3 mai 2013

Macrophoto (débuts)

La macrophoto consiste à photographier plus grand ce qui est plus petit, autrement dit (pour le non-spécialiste) pouvoir prendre en gros-plan des détails (et pas seulement du gros-plant chez les Nantais). Il existe pour cela de très nombreux objectifs à tous les prix (et surtout les plus élevés). Ce ne sera pas pour tout de suite, mais...

lundi 22 avril 2013

Le Prélude de Paris et le passage des ombres

Métro Châtelet, le 11 avril 2013. — On l'avait évoqué , mais ce n'est pas au Classique métropolitain — qui répond désormais, en fait, à l'appellation Prélude de Paris, que nous pensons; en tout cas pas comme l'objet principal de cet article. Cette fois-ci, c'est aux passants fugitifs que nous nous sommes intéressés. 


dimanche 21 avril 2013

À la lisière du clair et de l'obscur


Sarcelles, 18 avril 2013 vers huit heures du matin. — Temps curieux: sous les nuages, la grisaille d'un ciel plombé; ailleurs, une trouvée laisse paraître un ciel d'un bleu lumineux. Sarcelles est sous la lumière, Garges-lès-Gonesse dans ce qui apparaît par contrepoint comme l'obscurité. La gare est dans la partie sombre, échappant à la luminosité, dans cette tristesse matinale qui rappellent l'image employée encore par les ouvriers à la fin du XIXe siècle pour «aller au travail»: aller au chagrin. 

lundi 8 avril 2013

Du retard au regard


D'un retard, j'ai tiré un texte illustré :
vous le trouverez là.

Callisto (œuvre sur pierre)

Callisto est un satellite de Jupiter, une nymphe de la mythologie, un papillon entre autres choses... À qui ou à quoi la sculptrice Catherine Chamoulaud pensait-elle? Peu importe, au fond. De Callisto, elle a tiré une superbe sculpture sur pierre figurant en bonne place dans l'exposition sarcelloise Artistes en ville (mars 2013). Nous en offrons deux vues avec l'aimable autorisation de l'artiste.

lundi 11 mars 2013

Paris : du boulevard Pasteur à Montparnasse

Paris, 8 mars 2013. — C'est le quinzième arrondissement. J'étais descendu à Paris (le banlieusard y descend quand le provincial y monte) pour une consultation ophtalmologique rue de Vaugirard, non loin du boulevard Pasteur. Venir à Paris sans appareil photo en période de vacances, même dans un quartier peu touristique, n'était pas concevable. De fait, j'en avais deux: le réflex numérique Canon EOS50D et le compact Fuji X10 (les appareils sont indiqués pour les photos avec la mention EOS ou X10).

samedi 9 mars 2013

Béthemont III (mars 2013)

9 mars 2013. — Deux jours après la visite précédente à Béthemont, l'occasion me fut donnée de reprendre quelques photos alors que la pluie annoncée n'était pas au rendez-vous (tant mieux pour le photographe et plus encore son précieux appareil): un repas champêtre auquel j'ai assisté (cavalièrement?) par surprise et trois vues d'arbres qui rappelleront peut-être à la lectrice ou au lecteur «Béthemont I»Cliquez sur «Suite»!

jeudi 7 mars 2013

Béthemont II (mars 2013)

6 mars 2013 (II). — Après la vue classique, le ciel s'assombrit et rend fantasmagorique un simple rideau d'arbres. Le contraste est si marqué que, parfois même, il n'est nul besoin de retraiter les vues en noir et blanc. En nous rapprochant, profitons de cette seconde partie de la promenade, sans plus attendre et... sans légende!

Béthemont I (mars 2013)

6 mars 2013 (I). — Béthemont-la-forêt m'offre mille visages des mêmes paysages. La saison, la lumière du moment, la conjugaison des éléments offrent au regard et à l'objectif mille possibilités de représenter le réel. Commençons ici par une approche classique, plus traditionnelle qui commence, sous un ciel couvert, par la teinte mélancolique qu'offrent bois et champs en hiver.

dimanche 3 mars 2013

Quelques gouttes d'eau


Il y eut un gel et, au matin, sous le rayon d’un soleil pourtant froid, le dégel: à petits traits, à petites gouttes. Certaines d’entre elles se retiennent encore; on en sait d’autres qui vont lâcher et tomber, sans douleur, en douceur, rejoindre le sol d’où elles s’évaporeront sauf si quelque averse prochaine tombe et les entraîne dans sa précipitation. Mais ce temps-là — si proche sans doute — semble si loin pour ces gouttelettes qui s’accrochent encore comme pour l’éternité. Sait-on vraiment ce qu’est l’éternité pour une goutte?

samedi 2 mars 2013

Pantin, février 2013


À quoi donc fait penser Pantin ? Pour beaucoup sans doute à Tchao Pantin. Peut-être à une de ces villes ouvrières de l'ancienne ceinture rouge de Paris, mais ces villes bougent: il n'est qu'à voir Saint-Denis du côté du stade de France. Non loin du périphérique (on dit le périph comme jadis les fortifs), c'est un quartier moderne qui se construit et que dessert désormais la nouvelle branche T3b du tramway qui mène de la porte de Vincennes à la porte de la Chapelle. Mais avançons car, en ce 28 février 2013, il fait froid, très froid...

mercredi 16 janvier 2013

Lendemain de neige

Sarcelles, 15 janvier 2013. — Faute de neige abondante, les photos sont moins belles de jour (comme ne l'a sans doute pas dit Bunuel), avec moins de charme en tout cas que celles prises la nuit précédente.  Mais qu'importe! Le charme est dans la variété (comme ne l'ont pas dit les yéyés d'il y a — déjà! — cinquante ans). 

Le tapis blanc (quel cliché, hi! hi!) avait disparu au matin. Ne restaient que des zones plus ou moins bouillasseuses et de traîtres endroits où le perfide verglas vous attendait sournoisement. C'est en arrivant vers la gare de Sarcelles que le risque semblait moindre et que les contrastes se sont avérés tentants. En trois photos.

lundi 14 janvier 2013

Quand la neige tombe

Sarcelles, avenue Auguste-Perret (4 janvier 2013, 22h30). — Depuis le début de soirée, la neige tombe continûment. La timidité des premiers flocons pouvait laisser augurer une chute passagère, tant ils étaient ténus, ne formant qu'une sorte de bruine fondant dès qu'elle arrivait au sol. La soirée a passé sans que j'y fisse autrement attention jusqu'à vingt-deux heures trente. Là, c'était autre chose, depuis la fenêtre de ma chambre, avec une lumière qui me conduisit à choisir après quelques essais des vitesses d'exposition au jugé, tant la conjugaison de la nuit et du halo des puissants lampadaires éclairant presque a giorno l'avenue  provoquaient de surprises (Qu'es-tu devenue, noirceur du ciel?) suivant l'inclinaison ou l'orientation de l'appareil photographique, loin des calamiteuses sous-exposition que j'aurais pu redouter.



vendredi 11 janvier 2013